Il semblerait que cette chapelle, malgré sa modestie, ait fixé, bien avant toute pratique chrétienne, la religiosité des habitants par des rites païens qui ont glissé ensuite vers le culte marial.
Vers 1800, comme l’horloge du village, le four et la fontaine communale, le puits situé à l’angle de la rue de la Chapelle et de la ruelle Eluy, fait l’objet des services d’entretien assurés par la municipalité.
De l’église des 12e-13e siècles, il ne reste rien, sinon (à l’époque de l’abbé Loisel) « une statue, fort belle de la Sainte Vierge assise, portant l’enfant Jésus. Elle est en chêne, de décoration primitive… ».
Suite à la création d’un corps de sapeurs-pompiers bénévoles le 26 mars 1888, un bâtiment en briques a été édifié place de l’église, afin d’entreposer la pompe à incendie. L’effectif en 1900 était de 13 hommes.
Depuis l’Antiquité, l’homme cultive le châtaignier pour son bois et ses fruits. Dans le capitulaire De villis regii, édicté par Charlemagne pour la tenue des fermes royales, il est en bonne place parmi les pommiers, poiriers et autres arbres fruitiers.